Federico Coria

Federico Coria est un joueur de tennis argentin classé à l’ATP. Né le 25 mars 1985 à Buenos Aires, il a grandi dans une famille où la pratique du tennis était très répandue. Son père, Carlos Coria, était lui-même un joueur de tennis professionnel très respecté, et il a été l’un des principaux catalyseurs de l’intérêt de Federico pour le sport.

Coria a commencé à jouer au tennis à l’âge de deux ans et a rejoint le circuit junior à l’âge de 12 ans. Il a joué pour l’équipe nationale argentine de tennis junior pendant plusieurs années avant de se qualifier pour le circuit ATP en 2004. En 2005, il a remporté plusieurs tournois Challenger, ce qui lui a permis de se classer dans le top 100 mondial.

Depuis lors, Coria a remporté de nombreux tournois Challenger et ATP, dont le tournoi de Vina del Mar en 2010 et le tournoi de Sao Paulo en 2012. En 2017, il a atteint le deuxième tour de l’Open d’Australie et a remporté son premier tournoi ATP à Marrakech. En 2019, il a atteint son meilleur classement à l’ATP, à la 59e place mondiale.

En plus de ses succès sur le court, Coria a également remporté plusieurs titres importants en double. Il a remporté le tournoi de Gstaad en 2017 et le tournoi de Sao Paulo en 2019. Il a également atteint la finale du tournoi d’Acapulco en 2019.

En dehors du court, Coria est connu pour son sens de l’humour et sa détermination. Il est un grand fan de football et s’est impliqué dans plusieurs projets de bienfaisance pour soutenir les jeunes joueurs de tennis. En 2019, il a également reçu le titre honorif de «Joueur de l’année» en Argentine.

Federico Coria est l’un des joueurs de tennis les plus talentueux et accomplis de sa génération. Sa détermination et sa persévérance lui ont permis de remporter de nombreux titres et de se classer parmi les meilleurs joueurs du monde.

Défait pour son entrée en lice par Taylor Fritz (6−2, 1–6, 2–6, 1–6) à Roland‐Garros, Federico Coria ne s’est pas éter­nisé à Paris. En arri­vant à Barcelone, l’Argentin, 71e mondial, a été victime d’un vol avec sa compagne, à l’aé­ro­port…
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